Réflexion sur le smartphone
J’ai été très impressionné au cours de notre dernière réunion à NDS par l’usage des smartphones.
Faute de videoretroprojecteur, les smartphones se sont réveillés et chacun avait à son usage personnel l’image qu’on devait normalement partager sur un grand écran.
Le smartphone permet de découvrir les détails, un clou sur un mur, une cheville dans une porte.
Thierry, qui aime les trésors des petites choses, découvre 30 photos dans une seule.
L’expérience m’a troublé puisque tout le monde regarde la même image mais personne ne regarde la même chose. L’inconvénient du smartphone c’est qu’on ne peut avoir une image compète dans une grande taille, ce qui est quand même nécessaire si on veut avoir une impression générale de la composition et de l’atmosphère de l’ensemble.
Je pense qu’il serait intéressant de combiner les deux visions une projection grand écran et une visio sur smartphone.
Pour l’image :
« Gerolamo induno triste presentimento » sur le mur j’ai changé pour une reproduction du tableau de Hayez « le baiser »
à raconter une histoire : la jeune femme est celle que le jeune homme a embrassée avant de partir au front, elle en reçoit des nouvelles.
C’est au musée Brera à MIlan